Un marron dans la poche


RÉSUMÉ

La mutti, elle les collectionnait les marrons. Y en avait plein son sac qui trainaient parmi d’autres babioles qu’avaient rien à faire là. Je le sais parce que je guignais souvent dedans, bien qu’elle m’ait dit que ça se faisait pas de regarder dans le sac des dames, surtout des vieilles. C’est vrai qu’elle était vieille, sacrément même, mais dans mon esprit c’est toujours la plus belle.
Une langue inventive et jubilatoire, des illustrations poétiques pour raconter les petits souvenirs des choses de l’amour.


À PROPOS DES AUTEURS
Cécile Deglain
Illustratrice de Un marron dans la poche
Mes thèmes favoris sont la poésie, la philosophie et la psychologie. J’offre un grand éventail de techniques : le dessin au trait, l’aquarelle, des peintures numériques, l’utilisation des logiciels PAO, des collages, des acryliques sur toiles ou sur papier. Mon style est imprégné de couleurs vives et fauves et marqué par un mélange de différentes techniques, qui donne un résultat unique. Je peux par exemple partir d’aplats de couleurs ou de matières, ou de taches de couleurs auxquelles viennent s’ajouter du trait ou du collage. Une autre spécificité de mon travail est l’intégration d’éléments photographiques dans des images d’abord travaillés à l’aquarelle ou à la peinture, ce qui donne d’avantage de vie et de réalisme Lauréate d’une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Découverte, 2018

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Un marron dans la poche"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16281 ) [domains] => Array ( [0] => 16306 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Le souffle de ma Mamie

Au fond de son armoire, une petite fille découvre un ballon tout plissé. Un restant de fête d’anniversaire, une trace d’un souvenir. C’est sa grand-mère, disparue depuis peu, qui l’avait gonflé. Alors, cette enfant imagine le chemin que pourrait emprunter le souffle de sa Mamie si elle le laissait s’échapper. Au fil des pages, c’est un voyage tout en délicatesse comme une plume qui s’envole qui emporte avec lui le lecteur et ses pensées. Cet album aborde avec poésie et pudeur les thèmes de la mort, du deuil et du retour à la vie. Il est judicieusement écrit à la première personne du singulier. Ce « je » permet aux plus jeunes lecteurs de s’identifier au personnage. Les teintes dominantes utilisées par Catherine Metzeyer passent des couleurs froides aux chaudes en fonction des émotions véhiculées dans l’histoire. Chaque double page permet également de voyager à travers les yeux de cette petite fille qui va peu à peu laisser reprendre le cours de sa…

La vengeance de Germaine

À la ferme, presque tous les animaux s'entendaient bien.…

Le monde à l’envers

Rémi n’est pas un souriceau comme les autres. Pour lui, le monde est à l’envers. Il part pour…