Quand les cailloux baladins, casse-cou ou polissons, musiciens, costauds ou mariniers de Françoise Lison-Leroy entrent en collision poétique avec l’univers graphique de Raphaël Decoster…
Conçu comme un grand carnet de dessins, Tous mes cailloux ravira petits et grands collectionneurs d’éclats de poésie et roches précieuses.
Le papier de couverture est un fedrigoni légèrement texturé ; le caillou sur la première de couverture est imprimé et gaufré ; le papier du cahier interne est un Munken pure rough ; au centre : 4 pages de calques prêtes à s’envoler ; coins arrondis.
Technique d’illustration : dessins aux stylos bille bleu et rose ; gravure sur pierre
Autrice de Tous mes cailloux
Née le 6 octobre 1951 à Wodecq.
La poésie demeure ma terre natale. Avec elle, je tente de dire la même petite chose, neuve, essentielle, qui a toute ma ferveur.
Illustrateur de Tous mes cailloux
Derrière une austère couverture grise, entre cahier de note et carnet de croquis, se dissimule une rêverie sur les cailloux, censément inertes. Objets de description, cernés par le langage de Françoise Lison-Leroy et par le dessin de Raphaël Decoster, ils prennent forme sous les yeux du lecteur. L’autrice catégorise ses cailloux. Elle énumère : « ceux de la rivière », les « cailloux…
Un grand carnet souple, Tous mes cailloux, un petit livret coloré, De la terre dans mes poches, et nous voilà plongés dans les sons et les odeurs des mots de Françoise Lison-Leroy accompagnés des dessins de Matild Gros et de Raphaël Decoster. Des univers graphiques entourant les poèmes de Françoise Lison-Leroy que l’on rencontre dans le catalogue de la maison d’édition Cotcotcot. La matière, terre, pierre et cailloux, est le sujet principal de ce premier livret et ce premier carnet entamant de nouvelles collections.
Dans De la terre plein mes poches, collection « Matière vivante », Matild Gros dessine les mots de Jean Jardinier, poème ricochant…
Roman pour mains vertes et petit·es écolo-poètes et poétesses Comme tous les matins, à l’heure où le premier train siffle, Monsieur Mots pousse la barrière de son petit jardin. Il se balade de rosiers en buissons, de bourgeons en feuilles, et salue chacun·e d’une caresse. La terre est multicolore, les fleurs prêtes à éclore. À votre tour de pousser la jolie barrière rouge et d'explorer en compagnie de notre jardinier-poète ce lieu singulier où fleurs, plantes et mots prolifèrent en toute liberté… Les lecteurs et lectrices seront sensibles aux jeux de mots, aux métaphores, à la recherche lexicale qui mènent naturellement à l’écriture, au travail ludique de la langue... Cela dit, qu'on ne s'y trompe pas : le texte de Marie Colot est un manifeste humaniste qui développe des thèmes tels que la nécessité en opposition à la contingence ; la consommation et le productivisme ; la biodiversité (racines des plantes et des mots) ; le lexique en raréfaction ; la responsabilité qui découle de la propriété (« Je suis responsable de ma rose », dit Le Petit Prince), la générosité ou encore le partage.Comme tous les matins, à l’heure où le premier train siffle, Monsieur Mots pousse la barrière de son petit jardin. Il se balade de rosiers en buissons, de bourgeons en feuilles, et salue chacun·e d’une caresse. La terre est multicolore, les fleurs prêtes à éclore. À votre tour de pousser la jolie barrière rouge et d'explorer en compagnie de notre jardinier-poète ce lieu singulier où fleurs, plantes et mots prolifèrent en toute liberté…Comme tous les matins, à l’heure où le premier train siffle, Monsieur Mots pousse la barrière de son petit jardin. Il se balade de rosiers en buissons, de bourgeons en feuilles, et salue chacun et chacune d’une caresse. La terre est multicolore, les fleurs prêtes à éclore. Elles se gorgent de lumière tandis que les abeilles se promènent dans un joyeux désordre.…
Les enfants sont démoralisés : le monde semble aller si mal, comment faire pour changer…
Ysée ne parle pas. Elle aime les mots mais elle ne parvient pas à en prononcer un seul. Pour faire…