Toujours le vent visite les bannières

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jacques Vandenshrick

Auteur de Toujours le vent visite les bannières

Né le 12 mai 1943, Jacques Vandenschrick, comme il le mentionne dans le centième numéro du Carnet et les Instants, ne semble garder que très peu de traces de son enfance. Les études de lettres romanes et de philosophie à Louvain l'orientent vers l'enseignement. Très vite, il s'intéresse de très près à la critique littéraire et cinématographique et collabore dès février 1970 à La Revue Nouvelle. Son intérêt pour la culture italienne, la littérature suisse de langue française et l'esthétique, l'amène à écrire de nombreux articles. Des auteurs comme Cassola, Starobinski, Cixous, Rilke, Anne Rothschild, y ont une place de choix.Venu relativement tard à l'édition poétique (son premier recueil Vers l'élégie obscure date de 1986), Jacques Vandenschrick poursuit ses découvertes littéraires et assume l'édition d'oeuvres romanesques d'un auteur belge tombé dans l'oubli : Madeleine Ley. C'est ainsi que de nouveaux lecteurs ont pu prendre la juste mesure du talent de l'auteur d'Olivia et du Grand feu.Sa collaboration au Ligueur nous vaut, en 1987, un recueil d'articles, de chroniques et de proses, paru sous le titre Reconnaissance de paternité.Enseignant, il est devenu, au début des années quatre-vingts, chargé de mission pour la restructuration des études secondaires dans un des réseaux de l'enseignement.La discrétion de l'auteur le tient éloigné des cercles littéraires. Mais la reconnaissance est venue : trois prix littéraires importants, sa présence dans plusieurs anthologies, une critique élogieuse.Grand amateur de musique, chroniqueur attentif, l'auteur est également un aquarelliste de talent. Nous pouvons signaler ainsi, à l'entame de Avec l'écarté, une belle encre suggérant la montagne, domaine de prédilection, lieu de toutes les rêveries.
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Jacques Vandenschrik  est un poète triplement discret. Il publie peu, et seulement des livres longuement, soigneusement mûris. Il se tient éloigné des tapages mondains ou média­tiques, comme craignant tout ce qui relève d’un vain paraître. Son écriture, enfin, ne vise ni éclat ni effets faciles : elle est empreinte d’une retenue et d’une douceur où filtre souvent quelque nuance de tristesse. Tel est le cas de son troisième recueil. Toujours le vent visite les bannières, à la thématique plus unie que les précé­dents. Ce qui surplombe ces pages n’est autre que l’idée de la mort, mort de l’autre, de l’être cher, longtemps familier, qui un jour s’est irrémédiablement éloigné. L’auteur se livre à une longue rêverie, ou mieux…


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