Un cinéaste, une danseuse, un écrivain, soit le collectif nommé Kiss & Cry, comme le spectacle éponyme au succès que l’on connaît. Deux ans après Kiss & Cry, le collectif récidive avec Cold Blood, repris cet automne à Liège et à Bruxelles. Un spectacle de « nanodanse » mêlant danse, cinéma et littérature, où les personnages et la danse sont interprétés par des doigts.
Thomas Gunzig XX signe le texte, telles sept nouvelles, sept variations sur le thème de la mort. Derrière la prose poétique aux accents mélancoliques, on reconnaît l’humour noir cher à l’écrivain. Entretien avec un créateur d’histoires.
*
Vous appréciez autant les films de série B et Z que…
Des films au coeur du roman (dossier Littérature & Cinéma)
De Bernard Gheur (La bande originale) à Nadine Monfils (Mémé goes to Hollywood), de Michel Lambert (Fin de tournage)…