Si je t’oublie : poème

À PROPOS DE L'AUTEUR
Fabien Abrassart

Auteur de Si je t’oublie : poème

Né à Bruxelles en 1973. Publications dans plusieurs revues dont Le Mensuel littéraire et poétique du Théatre-Poème, Les Élytres du hanneton, Matières à Poésie.
Fabien Abrassart est lauréat 2009 de la Bourse de Poésie de la Fondation SPES, pour son projet d'écriture en relation avec "la question mystique de la Shoah : d'Auschwitz à Jérusalem". Il a également obtenu les prix Nicole Houssa pour La chose humaine et Émile Polak pour La part de personne, décernés par l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique.
  • La chose humaine, Le Taillis Pré, Châtelineau, 2003. Prix Nicole Houssa de l’Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique.
  • La part de personne, Le Taillis Pré, Châtelineau, 2006. Prix Émile Polak de l’Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique.
  • Si je t'oublie, L'herbe qui tremble, Paris, 2017.
  • En 2009, il reçoit une bourse pour un projet de publication en un volume des poésies complètes de Marcel Lecomte, sous l'intitulé Le vertige du réel, comprenant des inédits et suivies d'une lecture critique (source : Le carnet et les instants, n° 155).

    Participation aux revues suivantes:
  • Le Mensuel Littéraire et Poétique
  • Les Elytres du Hanneton
  • Matières à Poésie
  • NOS EXPERTS EN PARLENT...
    Le Carnet et les Instants

    « S’il n’émeut le salaud à quoi bon le poète » : Fabien Abrassart résume ici le dilemme qu’Adorno formulait ainsi : « Comment encore écrire de la poésie après Auschwitz ? ». Auschwitz a en effet prouvé l’échec de la culture allemande, européenne, occidentale : après Auschwitz et dans cette culture, il ne peut y avoir d’art que selon Auschwitz, en fonction d’Auschwitz. Aucune image ne peut masquer Auschwitz. Après le nazisme, tout langage est devenu problématique. L’autre pôle dialectique du livre d’Abrassart, c’est la référence à Jérusalem, nom qui évoque le culte du dieu des Cananéens, Shalem, divinité de la création, de l’exhaustivité et du soleil couchant. L’étymologie de la ville repose…


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