Une rose, une ratte, une grand-mère : voilà les trois héroïnes, farfelues et braves, de cette histoire, où l’on croise aussi un lierre, un acteur de cinéma, et beaucoup d’eau qui a justement noyé les archives de la vieille dame. Cette dernière existe vraiment, c’est la romancière Marie-Thérèse Bodart (1909-1981), ancêtre de l’autrice. Elle a tenu un journal intime (inédit) à partir de ses seize ans et durant presque cinquante années, évoquant ainsi une bonne part du xxe siècle. De ce journal au ton lyrique et volcanique, on découvre pour la première fois des extraits qui composent le roman Rose étrange au Mont des Arts, en alternance avec la fiction : l’autobiographie d’un végétal prénommé Rose-lerosier-marin. Cette étrange épopée participe à la joyeuse apocalypse de notre monde actuel.
Auteur de Rose étrange au Mont des Arts
"Paul Corneille avait quarante ans, on lui en donnait cinquante, et cependant…
Quentin Jardon nous donne avec Le chagrin moderne un roman, voire LE roman, de la solastalgie.…