Retrouver ses facultés

RÉSUMÉ

Les us et coutumes de la vie universitaire à travers une quarantaine de textes brefs qui décrivent avec humour le parcours de l’étudiant ou du jeune assistant, de son arrivée à l’université à sa soutenance de thèse.

À PROPOS DES AUTEURS
Nicolas Ancion

Auteur de Retrouver ses facultés

Né le 23 mai 1971 à Liège

Licence en Philologie romane, Université de Liège

Scénariste

Un auteur ne grandit jamais. On a beau lui demander de jouer les adultes, il préfère se retirer dans son coin, avec ses mots et ses cahiers, pour réinventer le monde. Depuis six ans, je ne fais plus que ça et c’est contagieux : j’aime partager cette passion avec les lecteurs, des plus jeunes aux plus vieux.

 
Pierre Kroll

Illustrateur de Retrouver ses facultés

Pierre Kroll est né en 1958 à Gwaka, ex-Congo belge. Mais c'est à la Cambre qu'il obtient son diplôme d'architecture et à Liège une licence en Sciences de l'environnement. Urbaniste pendant quelques temps dans la Cité Ardente, il devient dès 1985 dessinateur indépendant. On verra ses dessins, qu'ils soient d'humeur ou d'humour, politiques ou polémiques, dans de nombreux périodiques : Le Vif, la Cité, Trends-Tendances, Pourquoi Pas ?, Pan, Le Soir Illustré, le Peuple et aujourd'hui Télémoustique, Le Soir, Espace de Liberté, Inédits Cinéma et le Quinzième jour de l'ULG, entre autres. En parallèle, Kroll mène une fructueuse carrière d'illustrateur d'émissions télévisées, en particulier à la RTBF : Bizness-Bizness, Cœur et Pique, le JT, CinéMoi et surtout l'Ecran Témoin de 1985 à 1992 et à nouveau en 1996-97. On s'en voudrait de ne pas achever cette liste impressionnante par Mise au Point, LE débat politique de la RTBF tous les dimanches à 11h30 depuis des années. Mais il y eut aussi Y en aura pour tout le monde sur RTL-Tvi et un dessin par jour pendant six mois en 1996 dans le JT Soir. Comme si tout cela ne suffisait pas, on lui doit aussi d'innombrables illustrations ponctuelles pour des associations et institutions, qu'il serait impossible de citer en détail ici. Mentionnons tout de même : la Communauté française et la Région wallonne, la FGTB et l'Agence de Prévention du Sida, le parlement Européen et des tas d'agences publicitaires. Pour couronner le tout, Kroll a été récompensé en 1988 par le Prix de l'Humour Vache, avec Solé. Et si vous en voulez encore, ce n'est pas fini, puisque Kroll est aussi un des animateurs du Jeu des Dictionnaires et de la Semaine Infernale sur la Première et des '@llumés.be' en télévision. Enfin, et ce n'est pas la moindre des choses, Kroll est aussi l'auteur de 10 recueils aux éditions Luc Pire.


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Retrouver ses facultés"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9631 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Aspects inconnus et méconnus de la contrefaçon en Belgique

À propos du livre La contrefaçon belge des livres à l'époque romantique est quasiment inconnue. Née au lendemain de la séparation de la Belgique d'avec la France et de son rattachement à la Hollande, poursuivie après l'indépendance belge conquise à la suite de la révolution de 1830, cette industrie colossale, parfaitement licite en raison des législations nationales et internationales d'alors, eut à son actif, sans que leurs auteurs ou leurs ayants droit pussent s'y opposer, la reproduction, la traduction, l'adaptation des ouvrages étrangers, principalement français, qu'ils fussent littéraires, religieux, scientifiques, artistiques, politiques, historiques, militaires, musicaux, ou qu'ils traitassent de cuisine, de jeux de société, de typographie, d'archéologie, etc. Ce sont toutes les facettes de la «contrefaçon» belge que recense ce livre, divisé en une introduction, vingt chapitres abondamment illustrés de catalogues et de textes publicitaires d'époque, et trois annexes. Compte tenu de l'importance capitale du sujet, cet ouvrage interpellera tant le monde de la librairie que celui des bibliophiles, des bibliographes, des philologues, des économistes, des juristes, des scientifiques, des sociologues, des chercheurs, enfin : de tous ceux qui, de près ou de loin, érudits ou néophytes, s'intéressent au romantisme et à la Belgique de 1814 à 1855, lorsque ses éditions, souvent très soignées et vendues à des prix défiant toute concurrence, étaient répandues dans le monde entier et y propageaient les langues étrangères, au premier rang desquelles figure le français. L'auteur étudie depuis 1973 cet inépuisable et passionnant sujet, auquel il a déjà consacré dans le Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises trois études. Son livre, le premier à traiter de façon globale de la contrefaçon belge, est la somme de ces années…

Découpages des tout-petits

Casterman poursuit sa collection d’activités à destination…