Depuis un peu plus d’un an, le paysage littéraire belge s’est enrichi d’une nouvelle maison d’édition, Diagonale, dont la particularité est de se consacrer à la publication de premiers romans et au lancement de jeunes auteurs prometteurs. Le nouveau venu dans cette belle et remarquable entreprise se nomme John Henry. Il nous propose Quand les ânes de la colline sont devenus barbus, un roman grave et sincère, aux aspects poignants, qui parle d’identité et de sacrifice, de rêve et de douleur, qui parle de la folie des hommes. Un roman bien d’actualité surtout par son évocation de cet islam radical qui nous heurte tant et du terrorisme des barbus barbares exporté jusque chez nous, en Belgique.L’histoire est inspirée de faits…
Dans le décor hallucinant d'une guerre qui les déchire, deux familles, l'une des Cantons de l'Est et…
Paris, 1663. Au cours d'une soirée, Armand, marquis de Canilhac, reconnaît, au cou d'une jeune Iroquoise, un saphir qui appartenait à son frère adoptif, Loup, qu'il a trahi et condamné aux galères vingt…