Depuis un peu plus d’un an, le paysage littéraire belge s’est enrichi d’une nouvelle maison d’édition, Diagonale, dont la particularité est de se consacrer à la publication de premiers romans et au lancement de jeunes auteurs prometteurs. Le nouveau venu dans cette belle et remarquable entreprise se nomme John Henry. Il nous propose Quand les ânes de la colline sont devenus barbus, un roman grave et sincère, aux aspects poignants, qui parle d’identité et de sacrifice, de rêve et de douleur, qui parle de la folie des hommes. Un roman bien d’actualité surtout par son évocation de cet islam radical qui nous heurte tant et du terrorisme des barbus barbares exporté jusque chez nous, en Belgique.L’histoire est inspirée de faits…
Bernard Gheur est décidément l’écrivain belge de la nostalgie heureuse. On retrouve…
Sur fond d'enquête policière, suite au vol d'une statuette égyptienne dans le musée de Mariemont, une histoire d'amour qui tente de sortir des mailles d'une querelle familiale…