Pour sauver l'Edmonton

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Paul Duvivier

Auteur de Pour sauver l'Edmonton

Jean-Paul Duvivier est né à Flawinne - Namur, le 14 août 1931 et est décédé le 24 juillet 2008. Il fut marié, eu trois enfants, dix petits-enfants et un arrière-petit-fils. Il suivait ses études en humanités modernes scientifiques à Liège. Il exercait diverses professions, plus spécialement dans les Services Publics où il était finalement secrétaire communal (suite à un examen de niveau universitaire). Jean-Paul Duvivier fut aussi un écrivain de romans d'aventures, de recueils de poèmes et de souvenirs. A partir de son personnage Jo Gaillard, capitaine de marine marchande au long cours, Europe 1 télé-compagnie - en association avec des chaînes télévisées - produit une série de 13 films en couleurs (16 mm, 56 minutes chacun) entre 1970 et 1975.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Pour sauver l'Edmonton"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9955 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Nuages de saison

Le mot de l’éditeur : Un très beau recueil du poète-éditeur des Carnets du Dessert…

Philippe Delerm et le minimalisme positif

Cet essai s’attache à cerner, au fil d’une…

Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)

Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…