Mieux connue aujourd’hui pour son œuvre romanesque (« Olivia » et « Le grand feu »), Madeleine Ley fut aussi poète. « Petites voix » (1930) et « La maison du ciel » (1941) puisent leur inspiration dans l’enfance. Nous les lisons, ainsi que les inédits, comme l’expression d’une sensibilité à la portée universelle. La simplicité de son style anime ses comptines innocemment cruelles, ses ritournelles faussement anodines, son bestiaire farfelu, dans un éventail d’objets avouant la fragilité, la douleur ou la solitude de l’enfance.
Autrice de Poésies
Recueil de poésie où l'amour, sauf peut-être l'Amour divin, engendre souvent la tristesse.
Un recueil qui sent l'adolescence et son mal vivre. L'auteur y évoque les diffiultés…