Mieux connue aujourd’hui pour son œuvre romanesque (« Olivia » et « Le grand feu »), Madeleine Ley fut aussi poète. « Petites voix » (1930) et « La maison du ciel » (1941) puisent leur inspiration dans l’enfance. Nous les lisons, ainsi que les inédits, comme l’expression d’une sensibilité à la portée universelle. La simplicité de son style anime ses comptines innocemment cruelles, ses ritournelles faussement anodines, son bestiaire farfelu, dans un éventail d’objets avouant la fragilité, la douleur ou la solitude de l’enfance.
Autrice de Poésies
"Un beau livre, sobre, vif, qui rend tangibles les saisons et les heures. Les illustrations d’Anne Leloup devancent ou suivent le poème avec la force sereine des empreintes." Critique de Françoise Lison dans Le courrier de l’Escaut paru en octobre 1999. Extrait : "A force de se chercher de se trouver de se perdre de rouvrir le sentier des rencontres de déplorer les malentendus les impasses de célébrer les retrouvailles ils déboucheront dans la clarté sans fin" [Source : Le site des éditions…
« La poésie est comme la philosophie – ou devrait au moins faire comme elle,…
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…