Où votre œil s'efface

RÉSUMÉ

 Les poèmes qui composent ce livre ont été composés durant le second semestre de 2009, puis élagués et passés au tamis du cisèlement tout au long de l’année 2010. Ils émergent d’une crise littéraire aigüe durant laquelle la poésie me paraissait inutile. Exsangue, elle m’avait quitté. C’est dans ce contexte que naquit en moi, comme un défi, le projet d’exprimer ce désenchantement poétique en abordant le monde de la publicité. Car il me semblait qu’en cette dernière, malheureusement…

   lire la suite sur   Bela
À PROPOS DE L'AUTEUR
Maxime Coton

Auteur de Où votre œil s'efface

Né en 1986. Longtemps multi-tâches. Se consacre désormais à la littérature sous différentes formes et divers supports. Vit et travaille à Bruxelles. Dans son travail, il tente de trouver un équilibre entre poétique et politique. Lauréat d’une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Bourse d'Appoint, 2021

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Où votre œil s'efface"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 19177 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

La femme seule

Elena revoit Pierre au nouvel An. C'est le début d'une histoire d'amour qu'elle n'a pas vu venir.…

Mon corps, ce lieu de poésie témoin d’expérimentation criminelle

« Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première Ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale  Proximus  : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! »  Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.  Illustration de couverture : Théo Bouvier Chanquia « Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale Proximus : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! » Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure, électrosensible, interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.   ÉCOUTER UN EXTRAIT :    SonaLitté · Caroline Bouchoms - Mon corps, ce lieu de poésie…

L’en vert de nos corps

Le langage des plantes, si elles en avaient un, serait…