Dans un monde en perdition, gangréné par « le Sombre », un mal qui menace les organismes vivants, Ona, une jeune « Lueur » part en mission.
Maîtrisant la magie des plantes et de la nature, la jeune fille va tout mettre en oeuvre pour sauver son monde, retrouver son clan et son île d’origine qu’elle a quitté avec sa mère lorsqu’elle n’était qu’une enfant.
Tout au long de sa quête, Ona rencontrera des personnages farfelus et imprévisibles, et pourra compter sur l’aide de Dini, une petite chauve-souris aux étranges pouvoirs…
Une aventure pleine d’espoir et de fantaisie avec des personnages nuancés et des thématiques fortes (écologie, les rapports mère/fille), racontée avec beaucoup de poésie et d’humour.
Auteur de Ona (tome 1) : Les chroniques d'Ona
Illustrateur de Ona (tome 1) : Les chroniques d'Ona
Initialement publiée dans l’hebdomadaire Spirou sous le format d’une histoire courte en 2021, Ona revient chez Dargaud avec un livre bien à elle.
Dans ce conte initiatique signé Salva et Yohan Sacré, la jeune Ona tente de retourner sur son île natale pour combattre le Sombre, monstre qui gangrène son monde et fait périr les espèces vivantes. Ona est une Lueur, comme sa mère et les autres habitantes de son village, armée de pierres précieuses elle maitrise la magie des plantes. Si elles ont toutes disparu, Ona est toujours là et se sent prête à découvrir les origines du Sombre pour mettre fin à son règne.
BD jeunesse par ses personnages attachants comme Dini la chauve-souris et Anto le jeune renardeau, l’histoire aborde des thèmes profonds qui parleront…
Réalités obliques (tome 3) : Rencontres obliques
Après Réalités obliques et Mondes obliques , l’auteur de bande dessinée Clarke livre un troisième tome de ses récits aussi brefs que lugubres. L’auteur de la série Mélusine (dont le dernier album vient de sortir) délaisse sa petite sorcière et s’adresse ici à un public adulte, pour lequel il a aussi réalisé d’autres albums remarqués, comme le thriller d’anticipation Les Danois ou le diptyque Dilemna . Les vingt-cinq courtes histoires de Rencontres obliques , qui passent d’un registre fantastique à horrifique ou réaliste, ont en commun leur noirceur. Une jeune femme qui devine la mort dans les yeux de ceux qui vont disparaitre ; un mange-lumière qui plonge le monde dans l’obscurité ; un exorcisme sanglant ; une impression de malaise prémonitoire ; un enfant perdu ; un tueur en quête de sa prochaine victime… L’auteur prend un malin plaisir à plonger le lecteur dans une atmosphère angoissante avant de laisser deviner le pire.Récits fantastiques, nouvelles à chute ou petites histoires d’horreur, de celles à se raconter dans le noir, de préférence avant de dormir… autant vous prévenir : cela se termine toujours mal, pour le plaisir des amateurs du genre. Le livre ressemble à un exercice de style, pour lequel l’auteur s’est inspiré de maitres à penser qu’il remercie en dédicace : Ray Bradbury, Edgar Allan Poe, mais aussi Will Eisner, le graveur M. C. Escher ou le peintre Milt Kobayashi.Ces Rencontres obliques sont également le fruit de rencontres artistiques. En effet, pour réaliser ce recueil de saynètes, Clarke s’est entouré de beau monde : Kid Toussaint, Fabien Vehlmann, Andreas, Dugommier, Zidrou, Raoul Cauvin, Aimée de Jongh, Joseph Safieddine et Foerster ont collaboré à l’écriture…
Tintin et la lune. Objectif lune. On a marché sur la lune
À l’occasion du cinquantième anniversaire…