Une poupée chercha à parler à la limite des larmes qui inondent un vrai corps.Elle demanda au soleil quelle était sa vie avant, quand les ronds dans l’eau s’accumulaient dans son destin, si c’est grave de ne pas vivre comme toute le monde. D’être cloîtrée, de n’avoir jamais soif ni faim.Le soleil lui répondit : « Tu dois avoir chaud comme moi, au travers des autres, nous vivons ailleurs, aux cimes des forêts, quand la chaleur exulte et fait reposer les…
Auteur de Ombres chinoises
Un recueil de poèmes en trois parties : Prélude, Histoire et Envoi, écho d'une résidence…
Bonjour la vie !... un titre apparemment simple mais qui sous-entend une modernité conquérante, à travers laquelle…