Une poupée chercha à parler à la limite des larmes qui inondent un vrai corps.Elle demanda au soleil quelle était sa vie avant, quand les ronds dans l’eau s’accumulaient dans son destin, si c’est grave de ne pas vivre comme toute le monde. D’être cloîtrée, de n’avoir jamais soif ni faim.Le soleil lui répondit : « Tu dois avoir chaud comme moi, au travers des autres, nous vivons ailleurs, aux cimes des forêts, quand la chaleur exulte et fait reposer les…
Auteur de Ombres chinoises
Anselme ne ressemble pas à ses soeurs ni à aucun membre de la famille Fairreaux qui vit dans un coin…
Le hasard. Il n'y a que ça, au fond, le hasard. Lui qui nous fait vivre, mourir, aller,…
Ce livre d'aventures raconte la vie d'un jeune garçon disparu pour la société…