Oertli alone. Mesdames, mesdemoiselles, messieurs...


MESDAMES,
ne laissez pas cet auteur entrer dans votre demeure. Comme Peny, vous pourriez bien vous voir délestées, d’abord de votre mobilier et des signes extérieurs de votre richesse, mais surtout de ce qui fait votre petit bonheur, de ce que vous croyez encore être le bonheur, de ces petits arrangements entre ennemis avec la vie que peu à peu vous avez admis. La convenance, la bienséance, la décence, seront remplacées – et révélées – par l’absence. Dans le vide, le creux de l’absence, dans la cellule capitonnée qui vous tiendra lieu d’intérieur, apparaîtra alors la morne vérité de votre existence. Cet époux vulgaire, qui copule comme on consomme, qui donne des leçons à chacun et ne voit pas (parce qu’il ne veut pas voir ?) son supérieur hiérarchique vous peloter, qui dans son autorité machiste et « professionnelle » sur le monde, fait pleurer tout un manège de bambins.
Ces enfants, parlons-en, ces enfants que vous n’aimez pas, parce qu’ils…

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