Dans Ô il y a l’oxygène de l’air et les rouleaux inlassables de l’océan. Le bleu de l’eau, H2O, en réflexion infinie du ciel. Il y a l’émoi dans l’invocation, le vœu et parfois la douleur de l’âme. Parole, souffle ou cri. Un air de liberté à la traîne des nuages. Il y a aussi l’attraction universelle des corps. Surtout celui des hommes. Surtout ceux d’outremer. Et certaines japonaiseries. Une marque de rouge à lèvres. Avec la bouche ronde de stupeur ou d’émerveillement devant le mystère du monde.
Limite horizontale au bout de la mer
Le crépuscule de tes jambes
Imperturbablement épilées
Auteur de Ô