Nous l’avions découverte, voici sept ans, dans Les rives identitaires, un « récit nomade » frémissant d’espoir et de rébellion, de joie de vivre et de détresse.Née à Casablanca en 1958, belge d’adoption et de cœur (sa famille s’établissait à Bruxelles dès 1965), Leïla Houari, qui avait publié auparavant un roman, des nouvelles, des poèmes, une pièce de théâtre, proposait ensuite Cuisine intérieur (2014), un livre débordant de saveurs et de fantaisie, mais qui faisait la part de la mélancolie, dans le sillage de Jean-Claude Pirotte, cité en exergue : « Je ne suis ni d’ici ni d’ailleurs et sans cesse chassé de moi-même ».Nous la retrouvons aujourd’hui dans Ni langue…
Un homme ne supporte plus sa vie « officielle ». Il aspire à devenir invisible, à…
Un hôpital qui s'écroule, un rapport d'expert qui se perd, une disparition inquiétante, des amours qui se nouent…
Valentin a quinze ans et la vie devant lui. Son grand-père, cinq fois cet âge, et une maladie…