Nirvana, Nevermind : L’appel de la rivière Wishkah


RÉSUMÉ

Le 24 septembre 1991 sortait Nevermind, le deuxième album studio du groupe américain Nirvana. Le manifeste du mouvement grunge, la fusion du punk rock et des mélodies pop. Une poésie noire, brute, écorchée vive. Une charge âpre contre le système et la bien-pensance. Un des jalons discographiques de la Génération X. Trente ans plus tard, cet album culte n’a pas reçu la moindre égratignure et son mythe s’est fortifié. Il poursuit son chemin, fait d’attaques et de replis, semblable au cours de la rivière Wishkah si chère à Kurt Cobain.


À PROPOS DE L'AUTEUR
Marc Meganck
Auteur de Nirvana, Nevermind : L’appel de la rivière Wishkah

Marc Meganck est né à Bruxelles en 1975. Licencié en Histoire et diplômé en Gestion culturelle de l’Université libre de Bruxelles, une rencontre avec l’éditeur Bernard Gilson au cours de ses études réveille en lui son désir d’écriture. C’est ainsi qu’en 2007, il publie son premier roman : Génération Raider chez Bernard Gilson Éditeur. Il collabore égalemet par la suite avec d’autres éditeurs (Aparté, 180° éditions…). Ses thèmes de prédilection sont déjà en place. Les petits riens de cette vie quotidienne qui nous colle à la peau. Les bistrots de quartier, la déambulation urbaine, la musique, l’amour, la mort de l’amour, l’amitié, la référence au père…

Les romans et les nouvelles se suivent : le voyage et les rock-stars décédées à 27 ans (Deux fois par an, 2009), un road movie sur les bords du Saint-Laurent au Québec (Port-au-Persil, 2010), ou encore un recueil de seize nouvelles liées entre-elles à la manière d’un faux roman (Camionnette rouge, 2010). En 2012, dans Les Dessous de la Cambre, il crée le personnage de Van Kroetsch, un chômeur longue durée jouant au détective privé, menant des enquêtes déjantées à Bruxelles et ailleurs. Avec Une Vie belge (2013), il nous offre un autre road-movie inter-générationnel dans lequel il espère trouver – en vain – un sens à ce pays de dimensions réduites dans lequel il vit. En 2014, Van Kroetsch est de retour dans Le Pendu de l’Îlot Sacré, pour une virée surréaliste à la découverte d’un Bruxelles face B.
 

Frédéricque Bigonville
Illustrateur de Nirvana, Nevermind : L’appel de la rivière Wishkah
Frédéricque vit en bordure de la forêt ardennaise, au Pays de son père que traversa Paul Verlaine en son temps. Pour tromper son ennui existentiel, elle pratique différents modes d’expression : illustration, sculpture, céramique, écriture. Curieuse invétérée, elle aime observer ses contemporains de loin, et constate souvent qu’elle ne les comprend pas. www.fredericque.com

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