Aujourd’hui, on ne peut plus douter du fait que les SS étaient des maîtres en la matière pour effacer toutes les traces de leurs crimes. C’était sans compter sur la mémoire. La mère de Sylvia Pourbaix (Käte dans le roman) a vécu à Berlin les horreurs de la guerre comme d’autres enfants en Europe occupée les ont vécues. Orpheline d’un père enrôlé de force par la Wermacht et mort à la bataille de Dieppe, le 19 août 1942, elle vit à Berlin avec une mère révoltée envers le régime…
Auteur de Mon sang allemand
Maman d'un enfant trisomique, Françoise Daoust témoigne, raconte son histoire…
La peur et le rire, la poésie et l'insolite nous guettent derrière chaque page de ce livre habité par une…