Aujourd’hui, on ne peut plus douter du fait que les SS étaient des maîtres en la matière pour effacer toutes les traces de leurs crimes. C’était sans compter sur la mémoire. La mère de Sylvia Pourbaix (Käte dans le roman) a vécu à Berlin les horreurs de la guerre comme d’autres enfants en Europe occupée les ont vécues. Orpheline d’un père enrôlé de force par la Wermacht et mort à la bataille de Dieppe, le 19 août 1942, elle vit à Berlin avec une mère révoltée envers le régime…
Auteur de Mon sang allemand
Un espace coincé entre mer, ciel et montagne, livré à leurs humeurs fantasques.Cet été-là, Alexandra…
L'héritage de Lily à son grand ami Loïc se limite à sa bibliothèque ; héritage très ordinaire…
Enfant clandestin confié à un orphelinat de Liège, le petit Marcel Samson…