Mémoires d’un peintre liégeois, 1945-1980




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Le Carnet et les Instants

De la même manière que Montesquieu interrogeait l’altérité dans ses Lettres persanes, pour mieux faire saisir qu’il n’y a pas anomalie mais différence, ouverture au monde plutôt que repli sur soi, ainsi pourrait-on retenir entre nos doigts le fil rouge que tend l’artiste Léon Wuidar (Liège, 1938) dans ses Mémoires d’un peintre liégeois. Élevé, comme il le dit lui-même, « dans le silence d’un milieu familial, scolaire et social peu porté sur les questions esthétiques », le jeune Wuidar devient par la suite professeur de dessin, puis au milieu des années 1970, d’arts graphiques à l’Académie des Beaux-Arts de Liège – tout en cherchant en parallèle son propre chemin artistique. Et c’est probablement ce qui frappe…


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