De la même manière que Montesquieu interrogeait l’altérité dans ses Lettres persanes, pour mieux faire saisir qu’il n’y a pas anomalie mais différence, ouverture au monde plutôt que repli sur soi, ainsi pourrait-on retenir entre nos doigts le fil rouge que tend l’artiste Léon Wuidar (Liège, 1938) dans ses Mémoires d’un peintre liégeois. Élevé, comme il le dit lui-même, « dans le silence d’un milieu familial, scolaire et social peu porté sur les questions esthétiques », le jeune Wuidar devient par la suite professeur de dessin, puis au milieu des années 1970, d’arts graphiques à l’Académie des Beaux-Arts de Liège – tout en cherchant en parallèle son propre chemin artistique. Et c’est probablement ce qui frappe…
Ce que cherche inlassablement Jean Lejour dans ses aquarelles, c'est sa vérité à lui…
Essai sur l'identité d'un peuple.La bistouille, l'escavèche mais Robert Campin, Simenon, le site mégalithique de Wéris,…
Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité
Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…