Mauro Caldi (tome 5) : La guerre des familles

À PROPOS DES AUTEURS
Denis Lapière

Auteur de Mauro Caldi (tome 5) : La guerre des familles

Licencié en sociologie à l'Université Catholique de Louvain, mais surtout passionné de bande dessinée, il ouvre une librairie spécialisée à Charleroi et, au milieu des années 80, se lance dans l'écriture de scénario. Il travaille d’abord dans Le Journal de Spirou, puis crée Mono Jim en 1987 dans L'Écho des savanes, magazine où il publie, en compagnie du dessinateur Jean-Philippe Stassen, Bahamas et Bullwhite.
Michel Constant

Illustrateur de Mauro Caldi (tome 5) : La guerre des familles

Michel Constant est né en 1963 en Belgique. Après des études à l’école Saint-Luc de Liège, il publie ses premières pages dans le journal Tintin. En 1986 il crée la série Mauro Caldi, scénarisée par Lapière. Il est l’auteur d’une vingtaine de livres. Il arrive chez Futuropolis en 2013 avec Le Sourire de Mao, écrit par son complice Jean-Luc Cornette avec qui il a publié précédemment plusieurs séries : Red River hôtel (2002), Au Centre du Nowhere (2005) et Le Pygarque (2011). En 2017 il publie La Dame de fer, avec Béa Constant.

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Nos terres sombres

Située à Vielsalm, au coeur des Ardennes belges, La «S» Grand Atelier propose une série d'ateliers de création pour des artistes mentalement déficients et fonctionne comme un laboratoire.Depuis 2007, La «S» met l'accent sur une approche narrative de l'image et la rencontre entre le Frémok et La «S» a débouché sur un ouvrage collectif qui va donner son nom à l'ensemble du projet : «Match de catch à Vielsalml». Le projet se poursuit depuis avec une nouvelle série de récits créés en binôme. Paz Boïra a été accueillie en résidence entre 2009 et 2010. Nos terres sombres constitue le troisième round de ce match de catch.Certaines rencontres sans bruits. En choisissant de travailler avec Rémy Pierlot, Paz Boïra se rend rapidement compte qu'héritier d'une éducation irréprochable, il cache ses réflexions derrière des formules de bienséance et se protège en s'entourant de phrases toutes faites, adaptées à toutes les situations. Il s'avère nécessaire de trouver un terrain de dialogue autre que la parole. Rémy nourrit une fascination et une curiosité insatiable pour la nature, (qu'il a déjà dessinée avec Vincent Fortemps quelques temps auparavant dans Match de catch à Vielsalm), et montre à la dessinatrice les photos qu'il prend lors de ses promenades au bord des routes. La nature est une thématique chère à Paz Boïra, le sujet de son prochain livre, et ce terrain familier devient dès lors le lieu de rendez-vous des deux artistes. Les animaux, premiers habitants de ce territoire sauvage, commencent à peupler l'atelier silencieux et éloigné qu'ont choisi d'occuper Paz et Rémy pour travailler calmement. Face à face, leurs tables à dessin se remplissent de monotypes où apparaissent de grands ours, que Rémy dessine d'après photo. « Je trouve que dans sa façon de les dessiner il y a quelque chose de beaucoup plus proche de ce qu'est l'animalité (...) et ses animaux ont une présence bien plus vivante que quand je les fais moi ». Les échanges de dessins et le passage d'une main à l'autre permettent peu à peu à Paz Boïra de cerner ce dont elle va pouvoir se saisir pour armer leur récit. Elle perçoit, dans le charme que produit l'évocation des animaux chez Rémy, un lien très fort de ce dernier avec l'animalité et l'inconscient, une proximité qu'elle lutte pour retrouver dans son propre travail. Et c'est autour de cette perception instinctive qu'elle choisit d'articuler leurs travaux. Dans les sous-bois, où de splendidesoiseaux et mammifères se dressent entre de lumineuses clairières et les feuillages densifiés par le monotype, un homme et un ours arrivent à l'entrée d'un souterrain aux mille ramifications, une constellation de terriers. On devine que c'est…

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