« Quand ça me prend de circuler au creux des vagues / de gens chargés d’une journée de travail nul / et que je scrute chaque face pour trouver / je ne sais quel message en ces regards d’adultes / alors comme tant d’obsédés qu’on voit toujours / s’arrêter dans la foule grise dans la foule / molle bouffer avidement des yeux l’objet / précis qu’une vie tordue leur présente inlas- / sablement aux proclivités de leur désir / comme eux je m’arrête moi aussi et je plante / mon…
Qu’importe le temps quand on aime Voilà pourquoi je me promène Lors de son entrée, en anthologie,…
Zoé et Théo attendent leur maman dans la rue et assistent à un concert de musiciens…
Après Nabil, paru il y a deux ans, Rue du Monde, qui fête cette année ses 10 ans d’existence,…