Manoir. Saison 13


RÉSUMÉ

Sous l’autorité du Commandeur, six filles et six garçons disputent la finale de la treizième saison de Manoir, la célèbre émission de téléréalité. Une finale qui tourne très mal… L’espoir, l’humour, la cruauté, la manipulation, la peur, le cynisme, la violence et l’émotion sont les ingrédients de cette courte pièce de théâtre destinée à offrir la scène aux adolescents. Une pièce dont personne…

  lire la suite sur  Service du Livre Luxembourgeois

À PROPOS DE L'AUTEUR
Michel Cornélis
Auteur de Manoir. Saison 13
Michel Cornélis est né le 12 avril 1967, à Uccle. Son enfance est bercée de la douceur de vivre dans cette agréable banlieue bruxelloise, entre les bois, les rivières et les champs où il passe le plus clair de son temps. Sa scolarité se passe sans encombre et il se découvre une passion pour les mathématiques ... et le français. Il écrit à 17 ans une première nouvelle, pour le cours de français : A Imago, Celiapadès. Après une année en sciences économiques à l'ULB de Bruxelles, il se réoriente vers l'EPHEC où il obtient un graduat en comptabilité. Puis il suit les cours du soir à l'Institut de Commerce Saint-Louis à Bruxelles et obtient une licence commerciale et financière, avant de décrocher une maîtrise en management public, et enfin un postgraduat en general management à l'Ecole de commerce Solvay.Marié, père de trois enfants, Michel Cornélis a fondé en mai 2009 avec Mohammed Belmaïzi l'ASBL Plumes croisées- Dialogues interculturel.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Manoir. Saison 13"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9212 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

L’endroit défriché par le fou : Carnets d’une Côte d’Or

L’endroit défriché par le fou  : quel titre étrange ! C’est ainsi que le Romains auraient appelé Sclessin, Scloeticinus , où le narrateur a grandi. Quant aux Carnets d’une Côte d’Or , ils font référence à la rue où vécut sa famille. La Belgique est terre de comédiens et de comédiennes. Parmi ces nombreux artistes, Christian Crahay n’est pas le moindre. Il a travaillé aux côtés de Lucas Belvaux, Jean-Pierre et Luc Dardenne, Peter Brook, Isabelle Pousseur, Benno Besson, Kore-Eda Hirokazu, Chantal Akerman, Adrian Brine pour n’en citer que quelques-unꞏeꞏs. Ce que le public ignorait, c’est qu’il avait également un talent de plumes, comme le révèle L’endroit défriché par le fou . Ce livre est l’évocation sensible de la vie du comédien, à peine déguisée, à travers des notes et des esquisses où il revisite notamment Liège et en particulier Sclessin. Comme l’auteur, son narrateur, Victor, est comédien et passe par les lieux qui l’ont formé. Mais il met surtout en scène une incroyable galerie de personnages dont on devine qu’ils ont dû être proches de Christian Crahay. On pense à l’oncle José, fossoyeur surnommé Tati Cimetière, qui s’est constitué une belle cave à vins dans les sépultures. Il y a aussi le père, Fernand, architecte, qui fut nommé citoyen courageux pour s’être jeté dans la Meuse depuis le Pont d’Ougrée afin de sauver un désespéré. Dans l’orbe familial, il y a aussi la grand-mère Fernande, une féministe avant l’heure, qui officia bénévolement comme écrivaine publique, donna des cours de français aux travailleurs étrangers, fonda le magazine L’action parallèle en 1936, imagina dans un manifeste la Journée internationale des devoirs des hommes, entendez à l’égard des femmes. Elle trouva notamment son inspiration auprès de Lucie Dejardin, hiercheuse de fond durant son enfance qui deviendra la première femme députée socialiste à la Chambre en 1929.À travers des évocations intimistes, écrites avec tendresse, c’est donc aussi un regard décalé sur la Belgique que proposent ces textes. C’est ainsi quel’auteur/narrateur se souvient qu’il a été comédien dans le film de Raoul Peck consacré à l’assassinat de Patrice Lumumba. Tout en citant le discours d’Indépendance prononcé le 30 juin 1960 par le tout jeune premier ministre qui mérite d’être lu et relu, Christian Crahay dénonce clairement le rôle joué par les autorités belges dans l’élimination de cet homme élu par la population congolaise.L’ensemble du livre est empreint d’émotions et de nostalgie, à travers des évocations de la cité ardente et notamment de sa gastronomie avec quelques recettes typiques reprises à la fin de l’ouvrage, sans oublier « les lacquemants, pas lacquements ni laquemants, mais lackmants, ou peut-être lakements, enfin comme vous voudrez . » Michel Torrekens Au commencement, il y a Sclessin, Scloeticinus, ou l’endroit défriché par le fou, comme l’appelaient les Romains. Et il y a le père, dont la prospérité et le déclin incarnent le sort de cette banlieue liégeoise, aujourd’hui sinistrée, au passé industriel prestigieux. Revenu sur le tard habiter le quartier de son enfance, Victor, le fils, comédien, remonte le temps, poussé par le besoin de comprendre un homme attachant…

Le voyage intraordinaire

Un homme raconte son voyage entrepris à l'adolescence, qui lui a permis de faire des rencontres…