L’orient des chemins


RÉSUMÉ

Serge Meurant et Jacques Vilet ont recherché une lumière commune, un accord entre les mots et les images. Leur dialogue s’articule autour de cinq moments : « Les enfants », les portraits intitulés « Silences », les natures mortes ou « Paysages domestiques », les paysages titrés « Traversées » et « Panorama ». « si familières / que l’invisible / les escamote : / les choses d’ici-bas » « le soleil aveugle / la page blanche / où je trace un chemin »


À PROPOS DE L'AUTEUR
Serge Meurant
Auteur de L’orient des chemins
Je suis né à Ixelles, le 8 février 1946. Mon enfance fut heureuse. Je grandis dans un milieu intellectuellement privilégié. Mon père était poète et folkloriste. Ma mère, Elisabeth Ivanovsky, était venue de sa Bessarabie natale (Kichineff) étudier l’illustration à La Cambre. Elle fut et demeure pour moi la source d’un imaginaire inépuisable. Les amis de mes parents se réunissaient dans la cuisine familiale. Parmi eux, l’éditeur Georges Houyoux, le poète Pierre-Louis Flouquet, Zinaïda Schakovskoi, grande dame de l’émigration russe et Ania Staristky, la fidèle amie de ma mère. Nous étions trois enfants et chacun d’entre nous profita de ce terreau. Mon frère Georges est un peintre d’une grande rigueur dans la poursuite de son œuvre lumineuse. J’ai, depuis l’adolescence, toujours pratiqué l’écriture poétique comme un exercice vital. La poésie constitue ma colonne vertébrale. Elle est mon souffle et ma raison d’exister. Je n’ai jamais douté fondamentalement de son efficacité à traduire les événements qui ont marqué mon existence et le «monde abîmé» qui est le nôtre. Les titres de mes livres fournissent déjà quelques clés de mon univers : «Le Sentiment étranger», «Vulnéraire», «Souffles, Brasier de neige», «Visages», «Le don», «Ici-bas»…. L’évolution de ma poésie, parfois sombre et tourmentée, toujours jaillie de la vie concrète, réclame d’avantage de lumière. Elle allie l’expérimentation de la langue à la précision de l’expression de l’humain, sous toutes ses formes, des plus personnelles aux plus anonymes. La collaboration avec des peintres, des sculpteurs, des graveurs, des musiciens et des cinéastes m’enrichit, elle ouvre mon regard à la beauté mortelle, d’une manière plus sensible, plus concrète. 2 ŒUVRES QUE JE SOUHAITE FAIRE CONNAÎTRE Herberto Helder, Le poème continu Alexis Remizov, La flûte aux souris

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