L'orange amère

À PROPOS DE L'AUTEUR
Nicolas Wouters

Auteur de L'orange amère

Né à Bruxelles en 1984, Nicolas Wouters effectue une licence en communication à l'UCL (Université Catholique de Louvain). Puis il s'oriente progressivement vers la narration avec un master en écriture de scénario (IAD) suivi presque immédiatement d'un bachelier en Bande Dessinée à l’institut Saint-Luc à Bruxelles. Encore sur les bancs de l'école, il réalise son premier rêve: faire une BD. En collaboration avec le dessinateur berlinois Mikaël Ross, Les pieds dans le béton est publié aux éditions Sarbacane en 2013. De retour en Belgique après deux années passées en Suisse où il travaille notamment pour le festival de BD Fumetto, il a publié en 2016 Exarcheia-L’orange amère pour Futuropolis et Totem chez Sarbacane (Lauréat de la pépite catégorie « grands » au festival de Montreuil). En parallèle, il se réconcilie avec l'académisme en menant une thèse de doctorat auprès de l'UCL sur la mise en discours des souvenirs dans le cinéma d'animation documentaire.

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Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…

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