Longtemps, je me suis couchée de bonne heure avec l'œuvre de Proust

RÉSUMÉ

Les Lecteurs et lectrices découvriront ici des commentaires passionnés, iconoclastes à l’humour corrosif souvent des pages les plus subversives de Proust. Un regard empreint de tendresse toujours sur un Narrateur pas encore végétarien ni écologiste, mais jamais las en veilleur et voyant de pourfendre les passions humaines, toutes les passions et surtout les nôtres.

À PROPOS DE L'AUTRICE
Linda Steven

Autrice de Longtemps, je me suis couchée de bonne heure avec l'œuvre de Proust

Linda Steven, autrice franco-belge. Deux enfants. Enfance et adolescence passées à Bruxelles en Belgique. Lycéenne à l'Institut Saint-André à Bruxelles. Etudes de lettres à la Sorbonne. Professeure de lettres modernes. Diplôme TBIG à l’AFPA de Créteil. Obtention d’une carte de journaliste en 1998. Intérêt pour le monde himalayen et les pays bouddhistes. Secrétaire pour la France de l’ONG Siddhartha Foundation au Népal durant 15 ans. Crapahute un peu partout dans le monde mais surtout en Inde, au Népal et au Japon. Etudie le japonais. A ses heures perdues crayonne

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Longtemps, je me suis couchée de bonne heure avec l'œuvre de Proust"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880

À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…