Lire, voir, penser l'oeuvre de Jean-Philippe Toussaint

RÉSUMÉ
Issues d’un colloque, organisé à Bordeaux en juin 2019, ces contributions explorent la composition, la transmission et la réception de l’oeuvre de l’écrivain Jean-Philippe Toussaint. Elles examinent les mécanismes de séduction littéraire, la place de la procrastination, le style minimaliste, le processus d’écriture, les archives de la création ou encore la littérature en ligne.
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Depuis Les émotions, paru cet automne chez Minuit jusqu’aux débuts de Jean-Philippe Toussaint (avec La salle de bain en 1985, chez Minuit déjà), trente-cinq ans se sont écoulés. Soit une douzaine de romans et récits, sans compter des livres sur l’art, Félix Vallotton, le Louvre, de la photographie, plusieurs films, un ciné-roman tiré de La Sévillane – et encore un spectacle multimedia pour la scène avec le très estimé Delano Orchestra –, l’écrivain belge a fait l’objet de multiples traductions : du mandarin au finnois en passant par le bosniaque et le russe, une vingtaine de par le monde, et autant de mémoires ou thèses universitaires. Auréolé de plusieurs prix littéraires (le Rossel pour La télévision, le Médicis…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:livre - "Lire, voir, penser l'oeuvre de Jean-Philippe Toussaint"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité

Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…

Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880

À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…