L'invention du jeu






NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Un ballon dans un pré. Un escargot l'escalade, un chat s'approche. Puis une mouche se mêle de la discussion. Que croyez-vous qu'il arrive ensuite ?
C'est le premier roman pour la jeunesse de François Bégaudeau, grand amoureux de football. Sans densité narrative particulière – mais ce n'est pas son intérêt -, l'histoire dure un après-midi, construite par l'arrivée successive de protagonistes.…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "L'invention du jeu"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16311 ) [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Panique dans les coulisses

Retour de la bande des 4 qui cette fois profite de leurs vacances pour visiter un théâtre…

Le roman de Renart

Réécriture en vers.(réécrit en vers) Renart le goupil a plus d'un tour dans son sac. Que ce soit pour faire bonne chère ou tout simplement pour se jouer des humains ou du loup Ysengrin, il nous prouve que la ruse l'emporte toujours sur la force brutale. De la mésange au lion en passant par l'hermine et le corbeau, tous les animaux de ces extraordinaires récits médiévaux constituent un miroir du monde humain qui nous montre, en les grossissant, nos défauts. Un recueil de récits des XIIe et XIIIe…

La colère des Mac Gregor

Dans le grenier de sa grand-mère, Nelson, un jeune écolier fort raisonnable, trouve de vieux objets abandonnés et entend soudain des voix dans sa tête. Ce sont celles de ses ancêtres paternels, les de Trieu, enfermés dans les objets à la suite d’une malédiction datant du 15ème siècle, infligée par un seigneur écossais, Roy Mac Gregor. Nelson passe beaucoup de temps à dialoguer avec sa famille et se surprend à parler avec un râteau, une assiette en faïence, un sabre ou un poêle à bois. Il garde pour lui ce secret mais, à la mort de sa grand-mère, ses parents vendent la maison et les aïeux ! Ceux-ci se retrouvent chez un antiquaire véreux de Bruxelles, qui les disperse un par un. Nelson se sent dépassé par l’énormité de la tâche à accomplir pour retrouver sa famille, il ne peut s’en ouvrir à son père, dont l’extrême émotivité l’empêche quasiment de vivre. Il fait alors la connaissance de Victoria, une vieille dame pleine d’énergie et de ressources. Ensemble, ils vont explorer la ville, à la recherche de vases, d’assiettes et autres vieilleries afin de lever la malédiction qui pèse sur la famille et de faire en sorte que les ancêtres de Nelson puissent enfin reposer en paix. Après Bjorn le Morphir, roman de fantasy humoristique récemment adapté en bande dessinée, Thomas Lavachery publie son deuxième roman, qu’il a écrit pendant deux ans avec une classe de CM1/CM2 d’une école de Bruxelles. Le résultat est amusant, l’écriture est enlevée, les dialogues savoureux et l’idée de départ originale. A côté de la quête opiniâtre de Nelson, il y a aussi l’évocation de sa vie quotidienne et de ses relations avec ses parents, notamment avec ce père si fragile, que Nelson veut préserver à tout prix. Ce garçon est fort malgré son âge et sa quête donne de la force à ceux qu’il aime. C’est aussi ce côté-là de l’histoire…