Les Sauvenature (Tome 8) : Défendons les éléphants !

À PROPOS DES AUTEURS
Jean-Marie Defossez

Auteur de Les Sauvenature (Tome 8) : Défendons les éléphants !

Né le 27 août 1971 à Ransart

Docteur en Zoologie, ULg, Liège Brevet de plombier-chauffagiste, Nantes

Le monde est vaste, les champs d'écriture également. Les textes qui me tiennent le plus à coeur sont ceux teintés d'humanisme, c'est-à-dire le vivre ensemble et ce, autant des Hommes entre eux, que clui des Humains avec la nature. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2006 Lauréat du Prix Québec/Wallonie-Bruxelles, 2009
Fabien Mense

Illustrateur de Les Sauvenature (Tome 8) : Défendons les éléphants !


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les Sauvenature (Tome 8) : Défendons les éléphants !"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16311 ) [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Plus fort que la hyène

Savez-vous ce qu’est un inanga  ? Ce mot aux syllabes bondissantes désigne…

L’Hiver maudit (Arghentur, tome 1)

Un soir de fête hivernale dans un village balne, la jeune…

Pour tout l'or du monde

David vit avec ses parents au fond des bois, dans un chalet près d'un lac. Un jour, il trouve dans la maison des outils de bûcheron ayant appartenu à son grand-père et se lance dans l'activité, espérant impressionner son père, homme sévère qu'il craint particulièrement. Lors de ses sorties, il va rencontrer un chien-loup, que beaucoup d'humains n'apprécieront pas… Jean-Marie Defossez a une âme de poète, et, dans ce roman, la nature et les éléments prennent autant d'importance que les personnages, en des expressions qui bercent la lecture : « une après-midi où dansaient ensemble le vent et la pluie » (p. 16), « Le temps passa, doucement, comme l'oiseau bâtit son nid, branche par branche, jour après jour » (p. 81). Sur ce fond de douceur (notre apprenti bûcheron s'excuse auprès des arbres), se déploie une histoire relativement classique, celle d'un petit garçon hyper-sensible, qui trouve réconfort dans ses rêveries et auprès des animaux, en réaction à un monde adulte masculin qui le rebute. Le narrateur est centré sur les émotions, que ce soient celles de David ou de Miloup. Une nécessaire réconciliation entre tous s'opèrera, le père se rapprochant du fils, ainsi que de la mère. C'est plein de bons sentiments,…