Lionel, artiste plasticien ému par le drame que vit son ami, sans emploi à la suite de la fermeture d’un haut-fourneau liégeois, décide d’enlever le PDG du plus important groupe sidérurgique mondial, Lakshmi Mittal. Aidé d’amis et assisté par une équipe de tournage, il oblige l’homme d’affaires à réaliser des oeuvres d’art contemporaines de plus en plus absurdes.
Voici donc que L’homme qui valait 35 milliards connaît une nouvelle vie éditoriale en faisant son entrée dans la collection Espace Nord. Le roman, paru en 2009, a connu entretemps une adaptation théâtrale produite en région liégeoise qui lui a assuré un rayonnement là où Nicolas Ancion en avait situé l’action, en prise directe avec la réalité sociale au centre du récit. En choisissant de parler de la fermeture d’un haut-fourneau liégeois, des conséquences pour les travailleurs concernés, l’auteur n’a pas pour autant renoncé à la fiction, même s’il a fait du magnat indien à l’origine de la décision un des personnages centraux du roman, de la première à la dernière page.Dès l’entame, il est enlevé…
Dans le décor hallucinant d'une guerre qui les déchire, deux familles, l'une des Cantons de l'Est et…
Mais qui l'avait muté dans ce département, antichambre de la retraite où s'entremêlait…