L’homme qui écoutait chanter l’oiseau


RÉSUMÉ

Un conte destiné à tous ceux qui, de par le monde, ont le courage d’écouter chanter l’oiseau.

Dans un royaume régi par la terreur, un homme ose résister aux ordres du roi. Il refuse de se coucher à son passage, car il veut écouter l’oiseau. La police a beau l’arrêter, lui arracher les yeux et les oreilles, rien n’y fait : l’homme continue à croire en son oiseau.

Un album pour aborder le sujet de la torture avec les bons mots et des images poétiques, sans être infantilisant.

Points forts :

– La collaboration avec Amnesty International ;

– Le sujet poignant et le style graphique élégant de Valéria crée une collaboration se destinant aux enfants comme aux adultes ;

– Une fin lumineuse.




AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "L’homme qui écoutait chanter l’oiseau"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16280 ) [domains] => Array ( [0] => 16306 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Trop la honte

C'est trop la honte quand tu oublies ton texte au spectacle de fin d'année ! Trop la honte quand tu prends une gamelle devant la fille dont tu es amoureux ! Trop la honte quand on t'appelle « mon poussin » devant les potes…

Le livre de la jungle

L’histoire du « livre de la jungle » n’est plus à présenter. Ce ne sont pas les versions et adaptations qui manquent. Adopté par une famille de loups, Mowgli, un jeune petit d’homme, va apprendre les lois de la jungle. Entouré de Baloo, l’ours débonnaire et la panthère Bagheera, toujours alerte, il se défendra contre les attaques de Shere Khan, le tigre cruellement tenace et contre les Banda-log, singes sans foi ni loi. Loin d’une certaine mièvrerie plus consensuelle, Kid Toussaint propose dans son adaptation librement inspirée de l’ouvrage de Rudyard Kipling, une version plus sobre et intelligemment scénarisée pour les jeunes lecteurs. Ce conte philosophique, métaphore animalière du récit initiatique du destin universel, est soutenu grâce aux aquarelles de Gabriel Lefèbvre. Chaque double page est composée de son texte et de son tableau. Cette relation texte/image sert la progression de l’histoire en se complétant : trame narrative, suspense, aquarelles, décors et détails. Certains traits d’humour apportés dans quelques dessins adoucissent le côté parfois cruel ou anxiogène du récit. A chaque fois, le lecteur désire poursuivre et se retrouve à son tour un peu orphelin quand arrive la fin. Mais est-ce…