L’un a le sang païen , l’habillement barbare, a horreur de tous les métiers, déteste la domesticité, n’a pas le sens moral, se veut voyant.
L’autre est une « pauvre âme » qui oublie tout son devoir humain, quitte son existence « terne et lâche » pour suivre « l’Époux infernal », car il a faim de sa bonté, soif de ce corps encore enfantin. C’est pour eux deux « une saison en enfer » traversée d’illuminations.
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On peut frapper les trois coups. La tragédie va commencer. La scène se passe à Londres, après les Ardennes en Belgique. Plus tard ce sera Stuttgart, où ils se quitteront à tout jamais. William Cliff fait revivre les deux damnés, en alexandrins prosaïques, avec l’aide d’un chœur qui pourrait n’être qu’une voix qui accompagne, les interrogeant ce qui ici se joue : la métamorphose de l’infamie en gloire, la métamorphose de la poésie.
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