Les psychiatres n’ont jamais reconnu l’exhibition féminine comme pathologie. Depuis l’antiquité, elle s’inscrit dans le paysage social des peuples grâce à la séduction des vêtements et de ses titulaires. La Bas Moyen Age, moins bridé par la doctrine chrétienne connaît sa nouvelle Eve au XIIIe siècle. La Renaissance découvre une mode délirante et ses remarquables nus aux cimaises de l’Europe. Le célibat polygamique du haut clergé…
Auteur de L'exhibition au féminin
Chef du service de neuropsychiatrie à l'AIOMS Arlon-Virton (1974-2004).
Président fondateur de l'A.S.B.L. "Centre de Télé-Accueil du Luxembourg" (depuis 1974).
Commandant-médecin de réserve (depuis 1978).
Expert judiciaire auprès du Tribunal de Première Instance d'Arlon et de Neufchâteau, et auprès de la Cour d'Appel de Liège.
Médecin protecteur (1968).
Consultant privé auprès du Gouvernement de Guinée Conakry (1983).
Consultant psychiatre pour l'Organisation Mondiale de la Santé pour l'Afrique (1984).
Expert clinicien en neuropsychiatrie auprès de la Santé Publique et la Sécurité Sociale de la République Française (Bulletin officiel du Ministère de la Santé du 19 septembre 1985).
Breafing de consultant au siège de l'O.M.S. à Brazzaville (1985).
Consultant OMS auprès de la République Populaire du Bénin (septembre-octobre 1985).
Représentant l'O.M.S. au 2ème Congrès de psychiatrie et de psychologie à Abidjan (octobre 1985).
Maître de stage en psychiatrie (1986).
Président de l'A.S.B.L "Initiatives d'Habitations Protégées du Sud-Luxembourg" (depuis 1988).
Neuropsychiatre.
Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880
À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…