«…vous les hommes et les femmes politiques, vous nos élus nos représentants, (longtemps je vous ai défendus dans les conversations de salon, quand vous deveniez, dans la bouche des buveurs, des mangeurs, les boucs émissaires de tous les maux petits-bourgeois, trop d’impôts et blablabla, tous pourris et cetera, même si. Mais là maintenant, je ne peux plus, je n’y arrive plus, je ne veux plus)…»D’emblée, Lucien Putz annonce la couleur : avis de tempête ! Il ne s’agit pas d’un poème…