Le recueil décrit la désertion des campagnes pendant l’industrialisation et dresse le portrait d’une société en pleine mutation. La majorité des poèmes est consacrée à une figure villageoise symbolique (berger, forgeron, meunier, …) que la société moderne fait peu à peu disparaître.
Le vent, la pluie, l’automne et le soir sont également omniprésents
Auteur de Les Villages illusoires
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…