Les têtards

À PROPOS DE L'AUTEUR
Pascal Matthey

Auteur et illustrateur de Les têtards

Né à Genève, Pascal Matthey vit et travaille depuis de nombreuses années à Bruxelles. Il a publié à ce jour quatre bande dessinées à l'employé du Moi : Le verre de lait, Pascal est enfoncé, Du shimmy dans la vision, Les têtards. D’inspiration autobiographique, ses récits sans texte évoquent avec douceur et retenue les joies et traumas contenus de l’enfance. Parallèlement, il explore sans relâche depuis 2001 les contrées sauvages de l’auto-édition au sein de la micro structure Habeas Corpus, aux commandes de fanzines aussi cultes que révolus tels que « Spouk the Dog », « Soap comics » ou « We All Go Down ». En 2013, il a publié aux éditions de la Cinquième Couche une bande dessinée concrète entièrement réalisée en collages intitulée sobrement 978. Il est également musicien au sein du groupe Les Hommes-Boites.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les têtards"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

L'étincelle

La fin du monde est arrivée. Une fin du monde en douceur, les enfants ont cessé de naître et l'humanite s'achemine à petit pas vers la fin...Mais au centre de Paris, sous terre, un homme essaye d' enrailler…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…