Les mangeuses de chocolat


RÉSUMÉ

Dans ce singulier groupe de thérapie, trois jeunes femmes – Marielle, Elodie et Liliane – doivent en principe soigner leur dépendance au chocolat. Mais elles refusent l’idée qu’un événement « déclencheur » soit à l’origine de leur chocolatomanie. La thérapeute assiste, impuissante, à une véritable mutinerie qui remet son propre rôle en question. Elle finit par se laisser aller à des confidences contraires à toute déontologie…


PRIX
  Prix triennal de théâtre de la Communauté française 1999-2002

À PROPOS DE L'AUTEUR
Philippe Blasband
Auteur de Les mangeuses de chocolat
Philippe Blasband est un auteur mineur de la littérature belgo-judéo-chiito-polono-autricho-irano-afghano-caucaso-turque (pour simplifier). Il aurait pu écrire deux ou trois œuvres intéressantes s’il ne s’était pas autant dispersé entre roman, théâtre et cinéma. On reconnaît ses œuvres à leurs facilités stylistiques et leurs structures bancales, ainsi que par les quelques obsessions peu originales qu’il ne cesse d’asséner : la nourriture, le judaïsme, Bruxelles et la Belgique, l’informatique, le sexe comme récit, le conte. S’il faut absolument lui reconnaître une qualité, c’est la louable volonté d’inclure de l’humour dans ses écrits. Malheureusement, la plupart de ses gags ne sont pas drôles. Il est né en 1964 à Téhéran, qu’il a quitté à 29 jours pour des raisons obscures. Il a eu ensuite une enfance cosmopolite : Angleterre, USA, Belgique, Iran, retour en Belgique. C’est un polyglotte médiocre, qui ne maîtrise aucune langue, pas même celle dans laquelle il écrit. Il a deux frères, qui écrivent tous les deux, sans doute mieux que lui, mais qu’il tient soigneusement à l’écart du milieu littéraire, théâtral et cinématographiques. Il est marié, il a deux garçons et, par vanité, un bouledogue français appelé "Peggy". Blasband est un auteur exotique et politiquement correct, du moins par son aspect physique. On sent chez lui le besoin de correspondre à cette image publicitaire, en rajoutant artificiellement des décors lointains dans ses œuvres. En cela, on pourrait le comparer à Gérard de Villiers. Comme tous les intellectuels issus de l’immigration, il a un besoin terrible de reconnaissance publique. Il est prêt pour cela à toutes les compromissions. On l’a vu soudoyer des jurys pour recevoir des prix qu’il ne méritait pas. On le soupçonne même d’utiliser le chantage ou les faveurs sexuelles pour arriver à ses fins. Cet auteur n’a, heureusement, qu’une notoriété très limitée. Il sera très vite totalement oublié, sans doute encore de son vivant. Dans le CV ci-dessous, toutes les informations sont fausses. Ce qui n’a pas empêché certaines personnes de les écrire ou de les répéter. "Nommé aussi Olivier Blasband. Pseudonyme américain. Belge d’origine ivoirienne. Mère juive iranienne. A son arrivée en Belgique en 1979 prend la nationalité belge. Elève de Maurice Béjart à Mudra. Moniteur de l’INSAS." 2 ŒUVRES QUE JE SOUHAITE FAIRE CONNAÎTRE Œuvres complètes de Borgès Joyce Carol Oates, De la boxe 3 LIVRES DE MA BIBLIOGRAPHIE De Cendres et de fumée Quand j'étais Sumo Le Livre des Rabinovitch

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