« Au moment où un monde meurt, tout son instinct le pousse à retrouver et à répéter les gestes du commencement. C’est un instinct très intelligent qui trouve ainsi à pallier l’angoisse, à se relier aux choses de l’origine et à y puiser la sève nouvelle de sa régénéresceence… »Ces gestes, Jean-Pierre Otte fait mieux que de les recenseer, il les saisit sur le vif, dans leur belle épaisseur. On colle son oeil au carreau d’un atelier…
Il n'est pas vraiment asocial, un peu aigri peut-être face à cette société qui semble se complaire…