Les filles d’Aphrodite : Pas de fumée sans jeux (tome 2)

RÉSUMÉ

Orpheline de naissance, Lenni vient d’apprendre l’identité de sa mère et de se découvrir une soeur jumelle assassinée. Va-t-elle enfin connaître son père ? Et qui est le mystérieux homme qui l’aborde au cimetière ? Quelles révélations s’apprête-t-il à lui faire ?

À PROPOS DES AUTEURS
Corine Jamar

Auteur de Les filles d’Aphrodite : Pas de fumée sans jeux (tome 2)

Née le 18 avril 1962 à Bruxelles

Formation en Arts plastiques au Lycée de Berkendael

Je n’ai pas vraiment de méthode. Je respire un grand coup, puis je plonge. Une fois que j’ai trouvé une idée pour un livre de jeunesse, j’écris le texte, le torture et le triture une semaine. Je le laisse reposer deux ou trois jours, puis je recommence la maltraitance

André Taymans

Illustrateur de Les filles d’Aphrodite : Pas de fumée sans jeux (tome 2)

Né le 14 juillet 1967 en Belgique. Après des études de bande dessinée à l’Institut Saint-Luc de Bruxelles et de nombreux voyages à travers le monde, André Taymans publie chez plusieurs éditeurs (Lefrancq, Alpen-Humanos, Lombard, Dupuis, Bayard, Glénat…). Début des années 90, il dessine pour la jeunesse les aventures de Charlotte et de Bouchon le petit cochon, deux séries publiées par les éditions Casterman. Pour la revue Okapi de Bayard Presse, il crée Les Tribulations de Roxane, dont un épisode est édité en album en 2000 par les éditions JVDH. A la demande des éditions Hachette, il redessine l’intégralité des couvertures des Six Compagnons, romans pour la jeunesse de la Bibliothèque Verte. En 2002, avec la complicité du romancier Patrick Delperdange (Prix Rossel 2005), André Taymans publie Assassine, dans la prestigieuse collection Romans des éditions Casterman. Cet album obtient le grand prix du dessin de la Chambre belge des experts en bande dessinée. Cette même année, il illustre « Toison d’Or », roman érotique de Patrick Delperdange, dans la collection l’Index des éditions JVDH. En 2006, pour les éditions Flouzemaker, il fait revivre Sibylline, la petite souris créée 50 ans plus tôt par le grand auteur animalier Raymond Macherot. Parallèlement à Sibylline, il termine pour les éditions Casterman une aventure inachevée du journaliste Guy Lefranc, datant de 1955. La sortie de cet album, intitulé « Le Maître de l’Atome », coïncide avec les soixante ans de carrière de son créateur, Jacques Martin. Mais son principal cheval de bataille, c’est Caroline Baldwin, héroïne apparue pour la première fois en 1996 dans les pages du magazine « A suivre », série dont il signe le scénario et le dessin. La série récolte de très nombreux prix en Belgique et à l’étranger. Seize albums traduits dans de nombreuses langues (allemand, néerlandais, espagnol, italien, portugais …) se succèdent de 1996 à 2012. En 2015, André Taymans rejoint l’équipe éditoriale du Groupe Paquet. Il est actuellement l’éditeur des Editions Place du Sablon où il réédite Assassine, Les aventures de Charlotte et poursuit Les tribulations de Roxane. « Capable de passer facilement du genre enfantin aux créations destinées aux adultes, André Taymans s’affirme comme l’un des principaux représentants de la bande dessinée belge contemporaine. » Dictionnaire mondial de la BD, Larousse.

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Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…