Actuellement épuisé.Conteuse d’Ardenne, d’ailleurs et de ses rêveries, Mimie Poncelet a consacré son premier livre aux fées. Petite, son grand-père l’emmenait dans les grands bois jusqu’à la nuit tombée… Un jour, il a dit que les Fées existaient… Dans une écriture quasi «racontée» elle nous livre des histoires tellement vraies que ce sont de vraies histoires !
Auteur de Les Fées et les Fés, ça existe !
Une jeune femme reçoit en héritage les enseignements de sa grand-mère préférée, Nina,…
Conte thérapeutique qui explique aux parents et à l'enfant les émotions et questions qui adviennent lorsque la maman est enceinte de plusieurs foetus et que la vie ne suit pas !Il permet de rappeler à la mémoire…
Monsieur Satie : L'homme qui avait un petit piano dans la tête
Pour découvrir l'oeuvre d'Erik Satie à travers une histoire et des extraits des plus célèbres pièces du compositeur. Mélancolique et triste à souhait, cet album-CD n’en est pas moins magnifique. Parler d’Erik Satie - le solitaire, le marginal, l’excentrique souvent incompris -impliquait un ton décalé, gentiment moqueur et grinçant, que rend très bien la voix du récitant François Morel (qui doit sa célébrité, rappelons-le, à l’émission télévisée des Deschiens sur Canal +). Ce n’est pas une araignée au plafond mais juste un petit piano que Monsieur Satie a dans la tête. Les notes de musique y trottent, y vagabondent sans relâche. Il est audacieux, anticonformiste, se moque du wagnérisme et des vaniteux. De son cœur s’échappent des mélodies simples pour rêveurs et poètes, un public qui lui ressemble. « Monsieur Satie parle parfois à la lune. » Et parfois aussi, « Monsieur Satie met son smoking pour écrire une partition. » Il compose, explore, mélange les genres au risque d’être méprisé. Certains l’admirent cependant, comme Cocteau ou Picasso. L’illustratrice Elodie Nouhen évoque bien l’esprit des surréalistes et la solitude du petit monsieur perdu dans le tourbillon des notes. Touches de piano, métronome, partitions…sont surdimensionnés par rapport au musicien qui ne semble pas plus haut que trois chapeaux. Ce que Raymond Lulle appelait « la tristesse par surabondance de pensée » s’applique…