Les Bienheureuses




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Le Carnet et les Instants

Comment dit-on un page turner en français ? L’histoire des Bienheureuses commence pourtant en douceur et sans profondeur. Marcel Douby est un cinquantenaire et un fils modèle. Tellement attentif à sa mère qu’il préfère rester chômeur. Ainsi permet-il à maman de le dorloter tout son soûl. « Mercredi, c’est le jour des boulettes sauce tomate, frites. Elle les prépare super bien et je ne veux pas rater ça. »Je dis « son soûl » parce que le soir Marcel raconte qu’avec ses potes, « On éclusait des Jups avant d’aller draguer des grognasses dans les dancings des environs. » « J’ai pris de l’âge comme ça, à la douce, en baisant des tordues de plus en plus âgées. Moi non plus, je n’allais…


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" Je sens ses bras autour de ma taille. Il me serre si fort. Je n'ose ouvrir les yeux. La chaleur de sa langue sur la mienne, que c'est doux, que c'est bon. Je profite de ce baiser qui n'en finit pas, de ses mains qui crient tendresse, de ses jambes qui disent caresses, de ce corps qui surgit de l'arbre en chantant l'Amour !". Les sept visages de l'eau, un mariage d'amour et de haine où le passé imprègne le présent et détermine l'amour. FranMi nous emmène à travers une recherche d'identité, d'un rôle social dans une communauté villageoise qui, à l'instar de Saint-Léger, son village d'adoption, présente plein de contradictions. Comment vivre, comment demeurer dans un environnement où les traditions et habitudes anciennes se frottent à la consommation et la vitesse…