Les aventures des 3A (tome 4) : Signaux dans la nuit

À PROPOS DES AUTEURS
André-Paul Duchâteau

Auteur de Les aventures des 3A (tome 4) : Signaux dans la nuit

André-Paul Duchâteau est né à Tournai en 1925. Il est principalement connu comme romancier, nouvelliste et scénariste de récits policiers. Il entame sa carrière d’écrivain à l’âge de 16 ans lorsque Stanislas-André Steeman édite son premier roman dans la collection « Le Jury ». À partir de 1947, il se consacre pleinement aux scénarios de bandes dessinées. Sa série la plus connue, Ric Hochet, compte 78 albums et est dessinée par Tibet. En 1974, il renoue activement avec le roman policier et publie De 5 à 7 avec la mort. Cette sortie est récompensée par le Grand prix de littérature policière. André-Paul Duchâteau est mort en 2020 à l’âge de 95 ans. Il laisse derrière lui une œuvre imposante constituée de plusieurs centaines de bandes dessinées, autant de nouvelles et une quinzaine de romans.
Jean Mariette (Mittéï)

Illustrateur de Les aventures des 3A (tome 4) : Signaux dans la nuit


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les aventures des 3A (tome 4) : Signaux dans la nuit"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Le jardin des désirs

Mickey Loverose fait le récit de ses conquêtes féminines.…

L'étrange héritage

Le riche et excentrique Constantin Philibert laisse à ses trois neveux un curieux testament.…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…