L'épreuve du temps


RÉSUMÉ

Journaliste à l’Avenir du Luxembourg » à Arlon depuis 1966, Jean-Pierre Monhonval a suivi les événements qui ont marqué l’effondrement de la sidérurgie du bassin lorrain. Dont la dramatique fermeture de l’usine d’Athus, en juillet 1977.Il a été témoin des bouleversements prémonitoires intervenus au coeur d’une région transfrontalière réellement traumatisée. Il a assisté aux démarches effectuées à tous les échelons…

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Pierre MONHONVAL
Auteur de L'épreuve du temps
par l'auteur le 26 octobre 2001Né le 25 avril 1945 à Mussy-la-Ville, Jean-Pierre est l'aîné de neuf enfants dont sept garçons. Père ouvrier, mère au foyer et grand-mère patronne d'une quincaillerie de village.Humanités gréco-latines au Collège Saint-Joseph à Virton, jusqu'en seconde (poésie), achevées à l'Institut des Pères maristes de Differt/Messancy. Premier de classe de la promotion 65-66. J'étais nul en chimie, pas terrible en algèbre, trigonométrie et physique. Mais partout ailleurs, c'était pas mauvais. Voire bon. Ainsi en français (rédaction, dissertation, évocation poétique, souvent lues en exemples destinés à l'ensemble de la classe par un prof qui m'encourageait), en latin, géographie, histoire et anglais. Souvent, le lundi matin, à la salle d'étude des externes, je corrigeais deux ou trois travaux de dissertation, à la demande d'élèves plus âgés que moi. J'aimais ce travail à faire rapidement, d'une inspiration spontanée et dans la plus grande discrétion. Les bénéficiaires de ces travaux-express héritaient généralement de bonnes cotations. J'étais encouragé. Mais ils calaient misérablement, lors des examens trimestriels...Gros problème avec un prof «coincé» du «Saint-Jef» à qui j'ai dit un jour, en le regardant droit dans les yeux (affront impardonnable, un crime) que c'était stupide de mémoriser de longs textes d'Hérodote, rien que pour le plaisir de la difficulté. Pour moi, c'était bien plus utile de le faire avec les langues vivantes. A cette époque, la contestation était sévèrement réprimée. Je fus donc invité à changer d'air. Bien conseillés, mes parents m'ont orienté vers Differt où j'ai pu m'exprimer en toute liberté et construire sérieusement mon avenir professionnel. Premier «papier» paru dans l'Avenir du Luxembourg le 13 novembre 1961. Il y a quarante ans.J'ai payé mes études en travaillant comme collaborateur local, puis régional.Engagé à PAL le 6 septembre 1966. Après un stage de deux fois deux mois (les grandes vacances de 64 et de 65) considéré par le rédacteur en chef comme deux années de stages.Diplôme de journaliste professionnel à l'institut pour journalistes de Bruxelles. Graduat en techniques de relations publiques, European Institute of management, Bruxelles.Responsabilités géographiques : couverture de la région gaumaise, en particulier toutes les communes du canton de Virton qui se réduisent à cinq à la fusion des communes (1976) : Saint-Léger, Musson, Virton, Rouvroy et Meix-devant-Virton. Responsabilité thématique : le tourisme en province de Luxembourg, en zones frontalières et ailleurs.Depuis trente ans, membre de l'Union professionnelle des journalistes du tourisme de Belgique (deux en province de Luxembourg, avec Jacques Rossignon de Marche-en-Famenne). Membre du Comité de lecture de «Luxembourg-Tourisme» (FTLB, La Roche). Collaborateur à diverses revues et magazines.Les plus beaux voyages couverts à titre professionnel : Hawaï (De de Molokai, Père Damien, et Pearl Harbour), Hong-Kong, Bujumbura et les bords du lac Tanganyka, Houston au Texas, Rovaniemi et le Cercle arctique (Finlande), les îles grecques de la Mer Égée, Chypre, la Crète, la Sicile et le... Mullerthal, dans la Petite Suisse luxembourgeoise.Hobbys : lecture et écriture, Télé-News (préférences à CNN), Newsweek, jardinage d'agrément et découverte de tous les petits coins idylliques de chez nous, non encore infectés par la clientèle touristique de masse.Écrire est plus qu'une passion. C'est une nécessité physique. Comme respirer, manger et boire au cours d'une journée. Créer, inventer, animer, donner corps à des idées, les communiquer par l'écriture, c'est un besoin vital. C'est mettre de l'ordre dans sa vie et dans sa tête. Sans pour autant ennuyer les autres. Quand je n'écrirai plus, je serai mort...

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