«Son physique était des plus agréables, son crâne était garni de deux, trois petites îles flottantes de cheveux séchés, parsemées d’une prolifération de plaies, boules et pustules qui lui donnaient l’apparence d’un crapaud. Ses mains lourdes étaient comme des bêches quand il creusait la terre, pour y chercher ce dont sa nature avait besoin : de racines ou de plantes !»Dans ce recueil, l’oeuvre imagée et imaginaire trouve son inspiration…
Frangée de silence, l’écriture se dépose depuis un lieu qui brille comme une…