Auteur de Le premier jour de classe du petit ours Boniface
Olivier de Vleeschouwer est né à Uccle. Par la suite, il a mené des études très sérieuses, mais cela ne l'a pas empêché de faire toutes sortes de métiers. Il a déjà publié de nombreux livres pour enfants, soit comme auteur soit comme traducteur. Il vit actuellement à Paris.
Illustrateur de Le premier jour de classe du petit ours Boniface
Que d'ennuis pour un premier jour de classe ! Boniface a tellement traîné sur le chemin de l'école qu'il est arrivé le dernier. Comment faire pour retrouver sa classe ?
« Le roi, c'est moi ! Le roi, c'est moi ! » Quelle folie s'empare donc de la tortue ce matin ?…
À quoi rêvent les crayons le soir, au fond des cartables ?
« Tous les enfants rêvent de devenir grands. Tous les crayons rêvent de devenir petits. » Le soir, dans le fond des cartables, les crayons rêvent. Mais à quoi ? Ils songent et écrivent des mots, des mots inventés ou des mots croisés. Ils s’imaginent en train de composer les couleurs de l’arc-en-ciel ou de rétrécir tant ils sont utilisés. Car finalement, c’est leur but ultime : laisser une trace et devenir des souvenirs. Cet album accessible est une véritable invitation à laisser voyager son imagination. Chaque page est bien dosée par le texte poétique de Zidrou et subtilement illustrée grâce au crayonné de David Merveille mélangé aux photographies de Françoise Robert. Ces trois artistes ont combiné avec talent les sonorités, les rythmes, les mots, les images, les sensations et les émotions. L’alchimie donne vie aux différents crayons représentés et à leurs aspirations. Tout naturellement, le lecteur prend le chemin des mots et les relit plusieurs fois, dans le but de s’imprégner encore plus. Il en demande, encore et encore ! À son tour de répondre à la question : « Au fond des cartables, à quoi rêvent ses propres crayons ? » (Nathalie Bouillot) Le soir, au fond des cartables, les crayons rêvent... Ils rêvent d'écrire des mots d'amour,…
Oui, je sais, mamie, je suis en retard. Et mon panier n’est pas aussi rempli que quand maman…