Le Lendemain

À PROPOS DE L'AUTEUR
Michel Lambert

Auteur de Le Lendemain

Michel Lambert est né en 1947 à Aïcha, dans l'ex-Congo belge. La légende familiale veut que son père, ingénieur dans une mine d'or, ait appris sa naissance par tam-tam, répercutée de village en village depuis la maternité. Retour en Belgique en 1948. Installation à Anvers puis à Liège, où il fera ses études secondaires et universitaires (licence en administration des affaires) tout en pratiquant de nombreux sports, le cross-country en particulier. Il se marie en 1972, deux enfants naissent, et la famille émigre vers le Brabant wallon. Pendant plus de vingt ans, il exerce la profession de journaliste dans un hebdomadaire bruxellois. Ensuite il entre dans un cabinet ministériel à la Région wallonne. Parallèlement à ses activités professionnelles, il anime de nombreux ateliers d'écriture en centre culturel, en prison et surtout dans des centres de santé mentale. Enfin, il organise le prix Renaissance de la nouvelle, dont il est un des fondateurs. Il débute en littérature assez tardivement, en 1987, avec un recueil de nouvelles : "De très petites fêlures", prix de l'Union des Éditeurs de langue française. En 1988 paraît son premier roman, "Une vie d'oiseau", qui obtient le prix Rossel. Depuis, il alterne les parutions, publiant tantôt un recueil de nouvelles, tantôt un roman. Entre ses romans et ses nouvelles apparaissent de nombreux points communs : une écriture sobre, des personnages souvent en crise, incapables de communiquer, un désespoir mâtiné d'humour, le refus de tout jugement et de tout pathos, bref un univers qui privilégie la fragilité, l'endurance et le questionnement. Lauréat d’une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Bourse de création 2020  
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

De rencontres fortuites en retrouvailles provoquées, ces neuf nouvelles convoquent des hommes et des femmes qui partagent, le temps d’un instant, des souvenirs surannés, envolés, la gêne d’une réunion improbable. Jean-Charles décide sur un coup de tête de rendre visite à un couple d’amis qu’il n’a plus vu depuis quinze ans. Vont-ils l’accueillir chaleureusement ? Un jeune homme recherche un peu de compagnie, un soir de fête et de grande solitude, et se retrouve attablé dans une discothèque avec un parfait inconnu, tout aussi seul que lui, rencontré quelques heures plus tôt dans un cinéma. Patricia revoit le père de son enfant qui l’a tant fait souffrir et ces lieux qu’elle a voulu fuir. Stéphane Malter sympathise avec son voisin de table dans un bar miteux de…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Le Lendemain"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 10367 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Quelqu’un à qui parler

Le premier centre de Télé-Accueil belge a été créé à Bruxelles le 9 novembre 1959 par le Chanoine…

Monsieur Satie : L'homme qui avait un petit piano dans la tête

Pour découvrir l'oeuvre d'Erik Satie à travers une histoire et des extraits des plus célèbres pièces du compositeur. Mélancolique et triste à souhait, cet album-CD n’en est pas moins magnifique. Parler d’Erik Satie - le solitaire, le marginal, l’excentrique souvent incompris -impliquait un ton décalé, gentiment moqueur et grinçant, que rend très bien la voix du récitant François Morel (qui doit sa célébrité, rappelons-le, à l’émission télévisée des Deschiens sur Canal +). Ce n’est pas une araignée au plafond mais juste un petit piano que Monsieur Satie a dans la tête. Les notes de musique y trottent, y vagabondent sans relâche. Il est audacieux, anticonformiste, se moque du wagnérisme et des vaniteux. De son cœur s’échappent des mélodies simples pour rêveurs et poètes, un public qui lui ressemble. « Monsieur Satie parle parfois à la lune. » Et parfois aussi, « Monsieur Satie met son smoking pour écrire une partition. » Il compose, explore, mélange les genres au risque d’être méprisé. Certains l’admirent cependant, comme Cocteau ou Picasso. L’illustratrice Elodie Nouhen évoque bien l’esprit des surréalistes et la solitude du petit monsieur perdu dans le tourbillon des notes. Touches de piano, métronome, partitions…sont surdimensionnés par rapport au musicien qui ne semble pas plus haut que trois chapeaux. Ce que Raymond Lulle appelait « la tristesse par surabondance de pensée » s’applique…

Au coeur du temple (T. 2)

Il y avait, au bord de l'eau, un temple magnifique, tissé de…