Le château du Pont d’Oye à Habay-la-Neuve laisse une imprégnation puissante dans la mémoire de ceux qui y ont séjourné au fil des ans.Au moment du passage de ce lieu de la famille Nothomb vers un nouveau propriétaire, ce livre retrace sa présence dans la mémoire collective, à travers ses activités industrielles d’antan et sa place actuelle sur le plan culturel et artistique. La personnalité de Pierre Nothomb, écrivain, poète et…
Auteur de Le château du Pont d'Oye
Auteur de Le château du Pont d'Oye
Auteur de Le château du Pont d'Oye
Une histoire de fer et d'acier, in Cahier de l'Académie luxembourgeoise, 21/2005, pp. 5-54.
La libération... 65 ans déjà!, édité par le Ciné-photo « Nos loisirs » d'Aubange, 2009, 16 pages.
Jean-Lucien Hollenfeltz et la Musique, in Bulletin trimestriel de l'Institut archéologique du Luxembourg, 2013, pp. 26-55.
Dans le cahier de l'Académie 26/2014, il a publié 2 articles d'analyse de livres relatifs à la guerre 1914-1918 :1/ sur le livre (1919) de Henri Capon relatif aux massacres de Ethe et 2/ sur le livre (1915) de Pierre Nothomb Les barbares en Belgique.
Sur la résistance civile en Belgique, il a publié dans la revue Aux sources du Chiers , 26/2014, un article sur le réseau de résistance La Dame blanche à Athus.
Aspects inconnus et méconnus de la contrefaçon en Belgique
À propos du livre La contrefaçon belge des livres à l'époque romantique est quasiment inconnue. Née au lendemain de la séparation de la Belgique d'avec la France et de son rattachement à la Hollande, poursuivie après l'indépendance belge conquise à la suite de la révolution de 1830, cette industrie colossale, parfaitement licite en raison des législations nationales et internationales d'alors, eut à son actif, sans que leurs auteurs ou leurs ayants droit pussent s'y opposer, la reproduction, la traduction, l'adaptation des ouvrages étrangers, principalement français, qu'ils fussent littéraires, religieux, scientifiques, artistiques, politiques, historiques, militaires, musicaux, ou qu'ils traitassent de cuisine, de jeux de société, de typographie, d'archéologie, etc. Ce sont toutes les facettes de la «contrefaçon» belge que recense ce livre, divisé en une introduction, vingt chapitres abondamment illustrés de catalogues et de textes publicitaires d'époque, et trois annexes. Compte tenu de l'importance capitale du sujet, cet ouvrage interpellera tant le monde de la librairie que celui des bibliophiles, des bibliographes, des philologues, des économistes, des juristes, des scientifiques, des sociologues, des chercheurs, enfin : de tous ceux qui, de près ou de loin, érudits ou néophytes, s'intéressent au romantisme et à la Belgique de 1814 à 1855, lorsque ses éditions, souvent très soignées et vendues à des prix défiant toute concurrence, étaient répandues dans le monde entier et y propageaient les langues étrangères, au premier rang desquelles figure le français. L'auteur étudie depuis 1973 cet inépuisable et passionnant sujet, auquel il a déjà consacré dans le Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises trois études. Son livre, le premier à traiter de façon globale de la contrefaçon belge, est la somme de ces années…