Le Carnet et les Instants - 3e trimestre 2023 - Le Carnet et les instants 217

Sommaire

Édito : Et pourtant ils éditent
Nausicaa Dewez

Magazine

  • À la Une
    Jacques Sternberg, à la frontière des genres
    Nicolas Stetenfeld
  • Métiers du livre
    La musique du livre. La traduction littéraire pour enfants
    vue par Emmanuèle Sandron et Maurice Lomré
    Fanny Deschamps

    Entretien

  • Veronika Mabardi : «L’écriture est mon lieu»
    Louise Van Brabant

    Caractères de police

  • Tiziana Dallavera, la fille aux yeux mauves
    Michel Zumkir

    Portrait

  • Une fabulatrice déroutante : Marie-Louise Haumont (1919-2012)
    Daniel Laroche

    Édition

  • Alexandre Laumonier (éditions Zones Sensibles) : «Un bon livre sera toujours édité»
    Louise Van Brabant

    Les instantanés des AML

  • Le pèlerinage Verhaeren
    Christophe Meurée

    Libraire, votre partenaire

  • Une bouffée d’Oxygène à Neufchâteau
    Michel Torrekens

    Villes littéraires

  • De ville en ville en province de Luxembourg. Enquête littéraire dans «la Belle province »
    Guy Delhasse

    Perdus de vue

  • Ma guerre et mes dentelles (1972) de Louis Musin (1924-1981)
    Rony Demaeseneer

 


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Le Carnet et les Instants - 3e trimestre 2023 - Le Carnet et les instants 217"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Sokott la bête

Dans un village dévasté par la guerre et dont les uniques survivantes sont des femmes, un sacrifice se prépare.…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…