Le Carnet et les Instants - 2e trimestre 2024 - Le Carnet et les instants n° 219

Sommaire

  • Édito  Dualité du livre
    Nausicaa Dewez

    Magazine

  • À la Une
    La poésigne, un art en langue des signes
    Charline Lambert
  • Parcours
    Verheggen, poète anarchiste et rabelaisien
    Daniel Laroche
  • Libraire, votre partenaire
    Nouvelle librairie à Louvain-la-Neuve: La page d’après
    Michel Torrekens
  • Entretien
    Tuyêt-Nga Nguyên: l’aventure de vivre et d’écrire
    Michel Zumkir
  • Édition
    Bozon2X : cette chose étrange qu’on appelle littérature
    Louise Van Brabant
  • Rencontre
    Pochoir et climat poétique: rencontre avec Bernadette Gervais
    Fanny Deschamps
  • Les instantanés des AML
    Préhistoire de la politique du livre
    en Fédération Wallonie-Bruxelles:
    Les «Lettres ouvertes aux écrivains de Belgique» de Roger Avermaete
    Tanguy Habrand
  • Caractères de police
    Van Loo: enquêtes à la gueuze grenadine
    Joseph Duhamel
  • Perdus de vue
    Saint-Germain ou la négociation (1958) de Francis Walder
    Rony Demaeseneer
  • Portrait
    Jacques Sojcher l’éveilleur
    Véronique Bergen


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Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…

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