Elie est cinéaste et il débarque en Tunisie au plein cœur des mouvements du printemps arabe. Son arrivée dans le pays vise initialement à préparer un retour sur les lieux de tournage du film de Jean-Jacques Andrien, Le fils d’Amr est mort (1975). Mais dès qu’il pose le pied sur le sol tunisien, il est pris dans le tourbillon d’espoir qui anime la population qui se mobilise dans les rues. Dans sa foulée et derrière sa caméra, nous arpentons les assemblées, les sit-in, les défilés.Et nous rencontrons Alyssa, qu’il aborde lors d’une réunion. Entre eux, c’est le coup de foudre immédiat. Le besoin de se revoir relève de l’évidence, la communion d’esprit est forte tout autant que l’attirance des corps. Et pourtant, leur relation…
Branle-bas de combat : le gouvernement veut supprimer trois mille postes d’enseignants. Les professeurs…
Sur fond d'enquête policière, suite au vol d'une statuette égyptienne dans le musée de Mariemont, une histoire d'amour qui tente de sortir des mailles d'une querelle familiale…