William Cliff a au cours de sa carrière littéraire varié ses beaux travaux d’écriture. Outre sa poésie, il a mis son rapport aux mots au service de la traduction. Du théâtre aussi. Dans ce genre que pouvait-il écrire d’autre que des tragédies en vers ? Et qui dit tragédie pense aux histoires de grandeur et de majesté. De pouvoir aussi. Dans L’abdication, il donne sa version poétique et rêvée de la Question royale. Une version où comme il dit dans le prologue :
j’ai pris ici le parti qu’il était sans tache sans vous engager ni moi dans la lourde tache de démêler au milieu des avis divers celui qui triomphera devant l’univers
Le metteur en scène Benoît Blampain a pris le parti de rendre…
Simon n'a pas emmené son doudou avec lui. Aussi ce dernier se fâche-t-il en devenant un…
Nous avions préféré les peupliers. Construits de mâts vivants, chantant dans…