William Cliff a au cours de sa carrière littéraire varié ses beaux travaux d’écriture. Outre sa poésie, il a mis son rapport aux mots au service de la traduction. Du théâtre aussi. Dans ce genre que pouvait-il écrire d’autre que des tragédies en vers ? Et qui dit tragédie pense aux histoires de grandeur et de majesté. De pouvoir aussi. Dans L’abdication, il donne sa version poétique et rêvée de la Question royale. Une version où comme il dit dans le prologue :
j’ai pris ici le parti qu’il était sans tache sans vous engager ni moi dans la lourde tache de démêler au milieu des avis divers celui qui triomphera devant l’univers
Le metteur en scène Benoît Blampain a pris le parti de rendre…Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité
Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…